Réforme des Structures Sous Tutelle / SANGARE Moustapha :« Nous avons besoin d’un système intégré, lisible, performant… ».

Face aux patrons des structures sous tutelle (l’Agence Nationale de la Formation Professionnelle (AGEFOP), le Centre Ivoirien pour le Développement de la Formation Professionnelle (CIDFOR), le Centre de Promotion des Nouvelles Technologies de l’information et de la Communication (CPNTIC), l’École Ivoirienne de Bijouterie et des Métiers Annexes (EIBMA), le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) et l’Institut Pédagogique National de l’Enseignement Technique et Professionnel (IPNETP), Monsieur le Directeur de Cabinet a situé les enjeux de la réforme en cours.

« (…) Nous avons besoin d’un système intégré, lisible, performant. Un système où chaque structure joue pleinement son rôle, dans un esprit de complémentarité, d’efficacité, d’efficience et de mutualisation. Un système où les responsabilités sont claires, les actions coordonnées, les résultats mesurables. (…) Cette réforme ne vise pas à affaiblir une structure au profit d’une autre. Elle vise à faire en sorte que le tout soit plus fort que la somme des parties. Il ne s’agit pas d’effacer les identités institutionnelles, mais de les mettre au service d’un projet partagé », a indiqué le premier collaborateur du Ministre N’Guessan KOFFI.

Rappelons que cette réflexion s’inscrit dans une dynamique de réforme plus large, celle du Projet Emploi Jeunes et Développement des Compétences (PEJEDEC Phase 3), qui ambitionne de renforcer la capacité du système d’EFTP à répondre efficacement aux défis de l’emploi des jeunes, à travers des formations plus adaptées, plus accessibles et plus connectées aux réalités économiques.